





O laisse moi m’égarer, pris de chagrin
Dans les verdoyantes vallées encaissées,
Où j’aime me savoir martyr et délaissé
Dans les limbes de ton corps abyssin.
O comme j’aime m’oublier en ces forêts;
Où j’hume la sève amère des regrets
Et où je perds la notion du temps et des
heures
extrait
Guillaume Prevel, Vercors.
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